Chacun cherche son chat idéal

Adopter un chat est le rêve de beaucoup de gens. Ce rêve reste cependant souvent  à l’état de projet dès que l’on se souvient que l’on possède un canapé en cuir ou qu’il nous arrive finalement assez souvent de partir en weekend…-et dans ce cas, quid du chat ??

Les quelques conseils suivants, faciles à suivre, proviennent d’éleveurs et résoudront la plupart des difficultés liées à des erreurs d’éducation, simples à éviter.

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Un menu unique : les croquettes

Le premier conseil est de nourrir votre félin uniquement avec des croquettes et de ne JAMAIS lui faire goûter les boîtes. Cette nourriture sèche ne moisira pas et restera saine : vous pourrez ainsi la laisser en abondance à disposition de votre fauve qui s’autorégulera dans sa consommation de nourriture. On l’ignore trop souvent : la meilleure façon de ne pas avoir un chat obèse est de ne PAS le rationner !

Par ailleurs, la nourriture exclusivement composée de croquettes aura comme conséquences que votre chat ne quémandera pas de nourriture humaine et que vous n’en ferez pas un chapardeur. Vous pourrez le laissez seul dans votre salon avec un plat de saumon sous le nez et il ne viendra pas le dévorer dès que vous aurez le dos tourné.

Les griffes du chat

 Deux conseils importants :

–          habituer votre chat dès son plus jeune âge à se laisser couper les griffes (c’est indolore),

–          lui fournir un griffoir et lui montrer dès les premiers jours qu’il doit gratter son grattoir (et rien d’autre). Pour ce faire, inutile de crier. L’attraper dès qu’il testera la résistance de votre tapis préféré et le poser sur son griffoir. Au bout de trois ou quatre fois, il fera l’association tout seul. Inutile d’investir dans un grattoir joli (et cher) : il y a de fortes chances qu’il n’aura AUCUN succès. Le grattoir préféré des chats (qui marche à tous les coups) est le modèle banal en carton à quelques euros seulement.

Le pelage du chat

 Deux conseils importants :

–          brosser votre chat quotidiennement –même quelques minutes- vous évitera d’avoir des poils partout (surtout en période de mue).

–          le laver à l’eau de temps en temps (avec un shampoing spécial pour chats) dès son plus jeune âge réduira considérablement vos allergies et vous facilitera la tâche s’il décide un jour de se rouler dans du fumier ou dans du goudron pour les citadins.

Un chat habitué à être lavé n’opposera aucune résistance alors qu’un chat adulte pour lequel ce serait la première fois, se débattrait comme un beau diable.

Transporter son chat

Les départs en long week-end ou les trajets en voiture (ou en train) ne seront plus synonymes de galères si vous habituez votre chat, dès son plus jeune âge, à être trimballé de droite à gauche.

Entre trois et six mois, transportez votre chat partout, tout le temps (même si vous n’en avez pas besoin). Il s’habituera et vous en ferez ainsi le plus docile des compagnons de voyage, que ce soit en train ou en voiture.

 

Définir le territoire de son chat

Comment ne pas chercher son chat car c’est bien connu : les chats disparaissent systématiquement la veille ou le matin même des retours de vacances ?

Pour éviter ce problème, il suffit de définir quel sera le territoire d’exploration de votre chat. Si vous avez un jardin, faites avec lui plusieurs fois le tour de ce jardin (avec votre chat en laisse) en suivant avec lui la limite à ne pas dépasser. Il intègrera que son territoire est ainsi défini

Vous pourrez avoir ainsi un chat libre de se promener, que vous n’aurez pas à surveiller et qui restera dans un périmètre de sécurité.

Que ce soit votre maison, votre jardin ou votre bateau, il ne mettra pas une patte dehors. Vous saurez toujours où il est et vous réduirez considérablement les risques de vol, de perte ou d’accident.

Et vous, quels sont vos trucs et astuces pour avoir un chat idéal ?

Partagez votre expérience et commentez cet article !

Citation : Lettre à un jeune bachelier…

Citation

 « (…) Pour vous, maintenant, c’est une époque merveilleuse, comme toutes les époques de rupture : vous pouvez savourer en même temps la nostalgie de ce que vous quittez et l’espérance de ce qui vous attend : une vie d’homme, sans devoirs supplémentaires ni mots d’excuse, une carrière personnelle, la liberté. Vous voilà remis entre vos propres mains ; personne désormais ne vous protégera de vous-même : j’espère que vous vous voulez du bien. Continuer la lecture

« Cela va de soi », songez-vous. Eh bien, non. La plupart de vos ainés vous ont justement donné la preuve du contraire. Cette France qui précède la vôtre est pleine de gens qui se sont appliqués à rater leur vie, leurs amours, leur œuvre, parce qu’ils ne s’aimaient pas. Vous savez bien que ce thème unique, obsessionnel de la littérature d’aujourd’hui ou du cinéma, c’est le meurtre de soi. Les périodes de décadence n’ont peut-être pas d’autre cause que cette anémie, ce dépérissement de l’instinct de conservation ; on ne tient plus à soi, on se sent libre, tout est possible, tout est permis ! Courte ivresse. Quand tout est permis, plus rien n’est désirable.

Vous avez la chance d’entrer dans un désert. Depuis votre enfance, vous avez trop souvent changé les valeurs et les régimes pour croire à ce que l’on vous a appris. A votre âge – il n’y a que quelques années- on me parlait de la résurrection des arts, du nouveau roman, du redressement économique. Vous n’avez même plus à supporter le poids de ces trompeuses espérances. Tout est à faire. Tout est à prendre. Que vous désiriez devenir moraliste ou ingénieur, homme d’affaires ou d’Etat, savant ou poète, vous avez à peu près partout la place nette.

Un de vos camarades m’écrivait récemment que votre génération attendait une réponse à cette désespérante question : « A quoi bon ? ». C’est une question que vous ne vous posez plus si vous songez que ce phénomène si simple -être en vie- représente à lui seul une chance brève et rare qu’il s’agit de mériter.

Enfants gâtés, nous considérons la vie comme un phénomène naturel, un droit qui nous est échu : respirer nous parait la moindre des choses. Vous ne vous persuaderez jamais assez – vous, justement vous !- que vous pourriez fort bien ne pas être né. Songez à ces routes que vous ne verriez pas finir, à ces soirs que vous ne verriez pas descendre. Retenez le plus longtemps possible cette grâce que l’on commence d’oublier à votre âge, la grâce de regarder chaque chose pour la première fois. Sans doute cela vous paraitra-t-il un peu trop simple, à vous qui venez de frôler Descartes, Hegel et Heidegger. Et pourtant quand vous désespérez, ce ne seront pas vos connaissances qui vous sauveront, mais une humble envie d’enfant : l’envie d’être heureux. Ne négligez donc rien pour vous estimer, vous aimer ; désormais vous serez seul ; vous n’aurez plus que vous ; vous serez votre propre père et votre propre Dieu ; vous aurez charge d’âme. »

Pour lire plus loin : Arts 21 au 27 juin 1967 J.R. Hughenin (Le Feu à sa vie)

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Aqua détente : le site dédié au bien-être par l’aquarelle

Se détendre par l’aquarelle (www.aquadetente.fr): voilà une solution originale et créative pour lutter efficacement contre le stress, les soucis, l’épuisement professionnel et/ou personnel.

Peindre à l’aquarelle requiert en effet beaucoup de concentration et une grande réactivité. Pour l’exercer, il est nécessaire de se rendre disponible intérieurement et de faire abstraction de ses préoccupations quotidiennes. Continuer la lecture

Avec la crise et son lot de tensions, nombreux sont ceux qui éprouvent le besoin croissant de faire une activité artistique (ou sportive) qui « lave la tête », change les idées et dépollue l’esprit de ses soucis.

La pratique de l’aquarelle peut jouer ce rôle apaisant, propice à la prise de recul, première étape vers un mieux être.

L’aquarelle se décline ainsi en mode loisirs (via une séance programmée en atelier), en mode entreprise ou encore dans le cadre des activités proposées en maisons de retraite.

L’aquarelle en entreprise : une pratique RH innovante contre le stress

L’aquarelle de part sa spécificité technique, présente un intérêt particulier. En effet, sa pratique ne peut être totalement maîtrisée et oblige de pratiquer le lâcher prise : la personne développe ainsi sur le plan personnel, des capacités certaines de concentration et d’adaptation.

Le cadre d’intervention variera selon qu’il s’agira de séances de type « découverte » d’une heure ou d’ateliers de développement personnel de trois heures (dans ce cas, le plus souvent en inter-entreprises).

Déroulement d’un atelier type d’aquarelle en entreprise :

L’atelier se déroule en trois phases distinctes :

  • une phase de relaxation pour permettre aux participants de se détendre et d’être en condition d’exprimer leur créativité,
  • une phase d’expression (la plus longue), dédiée à la pratique de l’aquarelle
  • et enfin, une phase de partage et d’échanges sur les productions et le ressenti de chaque participant.

A noter : l’aquarelle est un loisir relaxant, ludique, convivial, stimulant et accessible à tous. Sa pratique peut rentrer dans le cadre du DIF (Droit Individuel à la Formation).

                                         Pour aller plus loin : www.aquadetente.fr

Et vous? Quelle est votre expérience dans ce domaine? Avez-vous déjà essayé?.. Ça m’intéresse…

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Citation : Les choses sont simples… Il y a la vie et il y a la mort !

Citation

« … Les choses sont simples, bandes de crabes, il y a la vie et il y a la mort ! On se trouve soit dans un bord ou soit dans l’autre ! Jamais dans les deux en même temps, même si la vie et la mort sont liés ! Continuer la lecture

Alors vérifiez dans vos gestes, dans vos pensées, dans vos décisions, dans votre manière d’envisager demain, vérifiez de quel côté vous êtes, et si vous ne surprenez pas de désirs et d’envies, d’illusions et de rêves, de peurs et de tendresses, si vous ne pouvez pas vous regarder en face sans raconter d’histoires ou accuser quelqu’un, si vous vous n’avez pas d’amis parmi les femmes les hommes, les enfants et quelques animaux, si vous n’êtes pas capables de vous courber pour aimer, d’honorer sans trembler, de donner sans attendre, de vous réjouir sans jalouser, c’est que vous êtes du côté de la mort ! …

… Si vous êtes du côté de la mort alors inventez-vous des dieux qui vous laissent libres, des rêves qui vous élèvent, des peurs qui enseignent l’exigence, des peuples et des amis qui vous donnent l’exemple et le courage, parlez aux fleurs, aux rivières et aux vents comme si c’était vous-mêmes, regardez les hommes comme de petits soleils, ayez des émotions et des admirations, laissez-vous emporter par la bonté et le désir d’offrir, aimez ce qui est vivant qui rit, qui pleure, qui chante et chantez avec eux, ne soyez pas tendre avec votre corps, soyez bienveillant avec tout le monde, ne vous apitoyez jamais sur vous-mêmes, prenez la douleur comme un signe de vie, les ennuis comme l’écume de l’action, les larmes ne servent qu’à nettoyer les yeux et utilisez-les pour dégager votre cœur, dites-vous que personne ne peut rien pour vous, que personne n’est la cause de vos manques et souffrances, que vous êtes seul à décider si vous êtes du manger pour la mort ou du manger pour la vie, créez-vous une richesse qui n’a rien à voir avec les biens de ce monde, faites battre votre cœur et votre esprit, aimez la solitude comme on va vers les autres, conservez le silence comme on prend la parole, tombez quand il le faut mais ne restez jamais à terre, changez tous les jours et restez ce que vous êtes dans ce changement qui va, cherchez chaque jour quelque chose à apprécier, quelque chose à célébrer, quelque chose à construire, là où il n’y a pas d’hommes soyez des hommes, là où il y a des hommes soyez des frères, là où il y a des frères soyez des pairs, soyez dans rien pour être dans tout, là où l’on prie écoutez ce qui monte, là où on ne prie pas voyez ce qui se fait, là où on aime aimez plus que tout le monde, là où on n’aime pas chérissez la beauté, gardez un œil sur vous, un œil qui doit vous trouver beau !

Faites de manière impeccable ce que vous pouvez faire, et ça vous le pouvez ! … Et, je vous le dis, sacrés morpions : la mort n’aime pas ces manières-là ! … »

Pour lire plus loin : Biblique des derniers gestes de Patrick Chamoiseau.
Editions Gallimard, 2002

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Relations de Presse (RP) : une (très) bonne Attachée de Presse ?

Dans la série des questions récurrentes : « Tu connais une (très) bonne RP ? » (entendez « Relations de Presse », sous-entendu quelqu’un qui aidera à vendre vos produits limite invendables (via leur médiatisation) ou qui s’emploiera à ramener votre Patron sur Terre –sans trop le vexer…- quand il pensera avoir inventé le fil à couper le beurre. Continuer la lecture

Une attachée de presse, pour quoi faire ?

Avec le développement des médias, d’internet et des réseaux sociaux, la communication revêt désormais un enjeu de plus en plus stratégique. Pour accroitre leur notoriété et développer leur image, beaucoup font appel à la publicité. Il existe cependant un outil de communication bien moins onéreux que la publicité et terriblement efficace : les services d’une attachée de presse encore appelée Relations Presse (ou RP pour les intimes).

C’est souvent « la » solution pour déployer des dispositifs sur mesures afin de développer l’image d’une entreprise, sa notoriété et au final, augmenter le chiffre d’affaire.

 

Quelles sont les qualités d’une (très) bonne attachée de presse ?

  • Une (très) bonne attachée de presse aura d’abord une écoute très développée afin de comprendre votre environnement, votre métier, vos besoins.
  • Une (très) bonne attachée de presse saura vous conseiller en prenant en compte les réalités des médias que ce soit la presse (spécialisée ou non), l’audiovisuel ou internet.
  • Une (très) bonne attachée de presse aura un réseau de journalistes à contacter pour vous faire connaître et mettre en avant votre actualité.
  • Une (très) bonne attachée de presse saura ce qui fonctionne (ou pas), ce qui aura des retombées (ou pas). En un mot, elle vous fera gagner du temps par son expertise et son expérience des médias mais surtout par son courage à vous dire les choses comme elles sont (même si cela ne correspond pas exactement à ce que vous avez envie d’entendre…)
  • Une (très) bonne attachée de presse vous accompagnera et vous challengera dans votre réflexion stratégique en vous aidant à identifier votre différenciation et à préciser votre positionnement.
  • Une (très) bonne attachée de presse saura rédiger et aura un sens esthétique certain pour vous guider dans vos choix éditoriaux sur des supports tels que les brochures, les plaquettes, les flyers, votre newsletter ou même votre site internet.
  • Une (très) bonne attachée de presse aura un sens du contact pointu ainsi qu’une ténacité affirmée afin de contourner le barrage des standards téléphoniques et relancer les journalistes cibles.
  • Une (très) bonne attachée de presse saura vous représenter dignement et incarner votre marque et vos valeurs lors d’événements tels que les salons, les colloques, les conférences, les voyages de presse.

Enfin sur le plan personnel, une (très) bonne attachée de presse sera sympathique, ponctuelle, fiable, vive d’esprit, analytique, synthétique, organisée, réactive, enthousiaste…bref, quelqu’un qui vous deviendra vite précieux et dont vous ne pourrez plus vous passer si toutefois vous dénichez l’oiseau rare.

 

Alors une (très) bonne attachée de presse, tu en connais ou pas ?

Bonne nouvelle : j’en connais une, vraiment EXCELLENTE !…

…et pour récompenser tous ceux qui auront lu (ou survolé) cet article jusqu’au bout, il s’agit de :

Nathalie COLLIN

…et son agence COKLICOT COMMUNICATION, créée début 2008

 Téléphone : 06 50 91 93 37

Mail : nathalie.collin@coklicotcommunication.fr

Sa spécificité : une communication de grande qualité, du « cousu mains », 100% sur mesures dans un seul but : optimiser votre emploi des médias, pérenniser votre communication stratégique et valoriser votre image pour mieux vous développer.

Pour aller plus loin : http://www.coklicotcommunication.fr

Et vous ? C’est quoi votre expérience des RP ? Partagez votre expérience ! Ça m’intéresse…

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Droit du Travail : un (très) bon avocat à Paris ?

bon avocat Paris

 

« Tu connais un bon avocat à Paris ? » (sous-entendu en Droit du Travail ou Droit Social…).

C’est sans doute l’une des questions que l’on me pose le plus souvent, compte tenu de mon expérience de DRH. Continuer la lecture

C’est quoi un bon avocat ?

  • Un bon avocat, c’est d’abord une personne compétente. Les problèmes juridiques sont tellement complexes qu’il vous faudra souvent un expert, spécialiste dans son domaine, au courant des dernières évolutions et jurisprudences sur les affaires similaires.
  • C’est une personne de confiance. En général, quand on cherche un avocat, c’est que l’on traverse une période un peu compliquée, dans laquelle on a besoin d’aide. Il est primordial de s’adresser à quelqu’un qui partage vos valeurs, votre étique et qui ne vous trahira pas, quelles que soient les circonstances.
  • C’est une personne au sens aigu de la confidentialité. Vous allez lui confier votre intimité. Il doit en échange vous garantir un respect sans faille du secret professionnel et préserver votre anonymat s’il évoque votre dossier à l’extérieur.
  • C’est une personne disponible et joignable, que vous pouvez appeler facilement et qui vous rappelle s’il est occupé. Vous serez suffisamment stressé pour ne pas avoir à courir après votre avocat…. C’est une qualité précieuse.
  • Enfin, un bon avocat, c’est une personne transparente sur ses honoraires. Ce dernier point doit être sans surprise, de la première consultation (offerte ou non) à l’issue du dossier ou à ses suites éventuelles (et ses conséquences en termes d’honoraires pour vous).

Et un bon avocat, ca coûte combien ?

Un bon avocat ne vous coutera pas forcément beaucoup plus cher qu’un mauvais… (Là aussi, j’en connais, mais la liste n’intéresse en général personne !…). Son coût variera selon les cabinets.

Pour un particulier, il existe différentes formules. Vous aurez le choix entre :

–          un montant fixe horaire, majoré (ou non) d’un honoraire de résultat (c’est-à-dire d’un pourcentage des sommes obtenues à l’issue de la défense de votre dossier),

–          un montant forfaitaire fixe par instance, majoré (ou non) là encore, d’un honoraire de résultat (pourcentage des sommes obtenues). Dans ce dernier cas, si une transaction intervient avant la saisine du Tribunal des Prud’hommes, ce dernier montant est souvent revu à la baisse.

Alors un bon avocat à Paris, tu en connais ou pas ??…

Bonne nouvelle : j’en connais (testés pour vous !)…et ceux dont je vais vous donner les noms ci-dessous sont même excellents !

Les avocats ci-dessous répondent tous aux critères évoqués plus haut. J’ai eu beaucoup de plaisir à travailler avec eux sur mes différents postes et je les recommande sans hésiter, que ce soit pour des particuliers ou pour intervenir en entreprise si vous êtes DRH.

Par ordre alphabétique :

Maître Jean-Marc ALBIOL (cabinet OGLETREE DEAKINS) 

Téléphone : 01 70 61 54 73 / 06 07 63 74 79

Mail : jean-marc.albiol@ogletree.com

 

Maître Jean-Sébastien GRANGE (cabinet VICTOR) 

 

Téléphone : 01 53 42 66 51

Mail: grange@victoravocats.fr

Site internet : http://www.victoravocats.fr/fr-equipe.html

 

Maître Pieter-Jan PEETERS (cabinet PJP)

Téléphone : 01 53 76 00 68

Mail :  pieter-jan.peeters@pjp-paris.avocat.fr

Site internet : http://www.pjp-paris.avocat.fr/

NOTA BENE :  Plusieurs cabinets d’avocats ont essayé, via les commentaires, de se positionner et de se faire de la pub via mon blog…. Ce n’est pas très correct. Cet article a pour seule vocation de mettre en lumière des avocats que j’ai testés PERSONNELLEMENT sur le long terme et sur différentes missions. Inutile donc de me donner les références d’autres avocats ou cabinets : je ne les mettrai pas en ligne. A bon entendeur…  😆

 

bon avocat droit du travail

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Neeyaa : la nouvelle plateforme éducative pour apprendre en ligne et progresser

Qui n’a pas rêvé d’apprendre en ligne, bien au chaud chez soi, confortablement calé dans son canapé ?… Bonne nouvelle : la solution (www.neeyaa.com) existe aux Etats-Unis et arrive bientôt en France !

Neeyaa est en effet la nouvelle plateforme éducative et interactive pour apprendre en ligne. Continuer la lecture

Le site offre deux services principaux : les cours en ligne et le tutorat. On peut donc à sa guise, choisir de suivre un cours précis ou s’engager dans une formule d’accompagnement plus longue via le tutorat.

Les cours en ligne sont payants et prodigués par des professeurs expérimentés. Ils sont conçus pour être des sessions interactives, permettant à tous de poser ses questions.

Le tutorat quant à lui, est une formule gratuite qui permet une interaction régulière entre tuteur et élève (voire avec les parents), ainsi qu’un suivi précis des objectifs fixés et des progrès accomplis.

Neeyaa a l’ambition de devenir le premier réseau social éducatif en ligne, pouvant connecter des étudiants et des professeurs dans le monde entier.

Neeyaa est une plateforme déjà opérationnelle aux Etats-Unis et dans le monde anglophone.

Il est prévu que l’outil soit disponible en français début 2013, afin d’aider les étudiants francophones dans leur préparation du baccalauréat.

Pour commencer, il suffit tout simplement de s’inscrire avec son adresse internet ou encore son identifiant Facebook.

Personnellement, j’aurais bien aimé avoir accès à ce genre d’outils plus jeune quand j’étais au lycée ou étudiante… Pas vous ?

Pour aller plus loin : www.neeyaa.com

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Apprendre le roller : ça roule pour moi… et vous ?

Je ne sais pas si vous êtes comme moi mais assez régulièrement, je décide de me lancer dans une activité pour laquelle je n’ai strictement aucun don…

Ma dernière lubie est d’apprendre le roller. J’ai toujours rêvé de glisser, de surfer sur la ville…

Le problème est que je n’ai jamais fait le moindre sport d’équilibre, pas même un peu de ski, rien, nada. Alors j’ai fait comme beaucoup de monde : j’ai regardé des tutoriels pour débutants sur YouTube, je suis allée essayer en bas de chez moi…et je me suis étalée lamentablement les quatre fers en l’air. Continuer la lecture

Après quelques chutes spectaculaires dignes des plus grands cascadeurs, j’ai été convaincue qu’il me fallait des cours. Mais là encore, même dans la section « archi-débutants », je finissais toujours par terre, blessée, avec des hématomes monumentaux. A la suite d’une chute pire que les autres, mes rollers ont atterri à la cave… et y sont restés quelques années. Apprendre le roller n’était pas fait pour moi…

Mais je m’avoue difficilement vaincue…et la semaine dernière, j’ai ressorti mes rollers. Et là, mini-miracle : j’ai enfin trouvé l’Association parfaite pour enseigner le roller aux débutants. Ils pourraient se nommer « le roller pour les nuls » mais leur nom est : RSI ou Roller Squad Institut (www.rsi.asso.fr).

RSI est la première école (association loi 1901) véritablement vouée au développement de la glisse urbaine pour tous (y compris les cas désespérés).

Leur méthode est extrêmement progressive mais terriblement efficace : aucune chute pendant un cours de deux heures, parmi un groupe d’adultes, tous parfaits débutants !

Les cours s’adressent à tous, adultes comme enfants et vous aurez un enseignement d’une grande qualité, individualisé qui s’aura s’adapter parfaitement à votre niveau, même novice.

Combien ça coûte ?

RSI propose un forfait annuel (adhésion à l’association + cours de Déplacement Urbain illimités) qui permet d’accéder à tous les cours de Déplacement Urbain ou encore un pass pour une activité spécifique (slalom, street, street hockey…) si tel est votre besoin.

Le forfait annuel coûte 230€ (200€ pour les chômeurs) ; le forfait semestriel (6 mois) est de 150 €. Tous les deux comprennent l’adhésion à l’association (44€) et les cours de Déplacement Urbain (illimités).

Pour rouler plus loin : www.rsi.asso.fr

…et vous, c’est quoi votre expérience du roller ? Vous avez déjà essayé ?…. Laissez-moi un commentaire, ça m’intéresse !

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Coaching : quelle formation et quelle école de coaching choisir ?

quelle école de coaching choisir

Coaching : quelle école de coaching choisir et selon quels critères ?

Toute personne voulant se former au coaching se demandera nécessairement un jour : quelle formation dois-je suivre ? Quelle école de coaching dois-je choisir ?

Dans ce domaine, l’offre est pléthorique…et le meilleur côtoie le pire, je pèse mes mots ! J’ai rencontré plusieurs personnes qui ont dépensé beaucoup d’argent dans une formation médiocre -pour ne pas dire mauvaise- et qui en sont sorties avec des connaissances et une posture TRES insuffisantes (c’est elles mêmes qui le disent).

Ayant mené cette réflexion –pour ne pas dire cette enquête- pour ma propre formation,  voilà les questions qu’il me paraît nécessaire de se poser, afin de faire le « bon choix », sachant que celui-ci restera au final, subjectif et très personnel. Continuer la lecture

Une école de coaching n’est pas un enseignement tout-à-fait comme les autres.

La formation est aussi, un cheminement personnel singulier, un changement intérieur qui va bien au-delà des techniques et outils du coaching. Ainsi, il devient primordial d’être particulièrement vigilant –et osons le dire: exigeant- quant aux enseignants qui vous accompagneront. Entourez-vous des meilleurs, sans compromis. Mais commençons par le début :

Quel type de formation en coaching choisir ?

La réponse à cette question dépendra nécessairement de votre parcours initial, de votre expérience, de vos acquis mais aussi et surtout de votre projet personnel et professionnel. Etes-vous nouveau dans le management et vous souhaitez asseoir votre autorité (sans pour autant devenir un petit chefaillon) ? Souhaitez-vous coacher votre équipe et aidez vos collaborateurs à progresser ? Souhaitez-vous être plus à l’aise avec les « personnalités difficiles » (termes généralement employés pour désigner les dingos en tous genre, du pervers narcissique au fou furieux) ? Souhaitez-vous en faire votre métier ? Dans ce dernier cas, il sera indispensable de suivre une formation plutôt longue (sur une année minimum) et dans tous les cas, certifiante (surtout si vous prévoyez d’exercer en France).

Ecole de coaching : le contenu pédagogique reste un critère clef.

Là encore, on trouve à boire et à manger dans le domaine, certaines écoles devenant curieusement très opaques dès que vous abordez le sujet de près, ce qui finit par vous faire douter de la consistance du contenu.

N’hésitez pas à poser des questions précises et exigez des réponses claires.

  • Quels outils et approches seront enseignés ? Comment ?
  • Quel équilibre y aura-t-il entre la théorie et la pratique ?
  • Tous les aspects du coaching seront-ils abordés, du coaching individuel au coaching des équipes en passant par l’accompagnement des organisations ?
  • Les différentes études se feront-elles via des jeux de rôle ou à partir de situations réelles non simulées ?
  • La formation intègrera-t-elle des supervisions régulières ?
  • Un suivi individuel et personnalisé est-il prévu dans votre parcours ?
  • Y aura-t-il des groupes d’échanges de pratiques ?
  • Quelles sont les valeurs de l’école ?

Ecole de coaching : fuyez la pensée unique !

Fuiyez aussi les phénomènes de mode, de gourou, le culte de la personnalité du fondateur, bref… tout ce qui ressemble de près ou de loin à un gros nuage de fumée. Vous n’êtes pas là pour perdre votre temps, ni votre argent… même si certains sont sur ce marché, de toute évidence pour vous le prendre.

En termes de durée, certains vous feront devenir coach en accéléré (comme pour le permis de conduire !!…); d’autres au contraire auront un enseignement étalé dans la durée, vous permettant l’intégration de la posture de coach sur le long terme. Le timing des sessions doit bien sûr être compatible avec votre projet ou votre activité professionnelle si vous êtes en poste.

Les enseignants doivent être de qualité. Ce qui va sans dire va encore mieux en le disant : il me parait indispensable que les formateurs soient eux-mêmes des coachs certifiés, supervisés dans leur pratique du coaching et de préférence, en activité en externe afin de conserver un ancrage solide avec la réalité. Ces personnes doivent nécessairement avoir fait un certain travail sur elles-mêmes et si possible partager vos valeurs et surtout votre éthique. Dans ce domaine encore plus qu’ailleurs, fuyez l’arrogance, le manque d’humanisme et tout ce qui sonnerait un peu faux.

La taille des promotions peut également être un critère. Une grande promo vous ouvre la porte à un grand réseau de futurs collègues. Cependant, l’enseignement et le suivi y seront forcément plus anonymes que pour une promotion d’une quinzaine de personnes.

Le coût d’une école de coaching sera pour beaucoup un élément important, voire discriminant.

Certaines écoles ont l’intelligence (du cœur) d’avoir des tarifs différents selon que vous êtes financé par votre entreprise ou par vous-même. Dans beaucoup de cas, vous pouvez également mobiliser votre DIF (Droit Individuel à la Formation), pensez-y.

Enfin, les écoles sérieuses exigeront que vous ayez un suivi thérapeutique en parallèle de votre parcours, afin de gérer au mieux les turbulences que tout développement personnel engendre tôt ou tard.

Pour ceux qui veulent découvrir ou poursuivre leur parcours en coaching en intégrant une posture gestaltiste, je recommande vivement les différents parcours de formation chez EPOKE, dont le parcours complet certifiant en coaching. Avec le recul, intégrer l’écoute inconditionnelle, les techniques et la posture empruntés à la psychothérapie Gestalt me paraît être beaucoup plus puissant qu’une formation plus classique pour accompagner les personnes et les équipes. Cela vous donnera un avantage concurrentiel indéniable dans un marché déjà saturé en coachs aux pratiques identiques. (NB : ce dernier paragraphe a été ajouté début 2016, NDLR).

…et vous quelle est votre expérience de la formation en coaching ? Merci de laisser un commentaire, une astuce, un avis sur cet article !

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Nager avec les dauphins : j’ai réalisé mon rêve !

 Beaucoup de gens rêvent de nager avec les dauphins… et pourtant très peu de personnes s’autorisent à le faire !

A la différence d’autres rêves (comme flotter dans l’espace ou marcher sur la Lune), nager avec les dauphins est facilement réalisable (et relativement accessible). Continuer la lecture

Je passerai sous silence, les expériences (critiquables) de nage en delphinarium, où la seule motivation du dauphin pour se coller à vous est d’obtenir sa ration quotidienne de poissons…

 Mais j’évoquerai plutôt l’expérience magique de nager avec des dauphins en liberté dans leur milieu naturel.

Depuis une vingtaine d’années, j’ai essayé tous les plans possibles dans ce domaine, des voyages en solo les plus « roots » aux formules accompagnées, plus confortables.

J’ai appris -à mes dépends- que certaines mers sont vraiment plus chaudes que d’autres, que la visibilité sous l’eau est essentielle et qu’enfin, certaines races de dauphins sont vraiment plus timides, moins joueuses et donc moins disposées à interagir avec les humains.

 D’autres dauphins au contraire, n’hésiteront pas à venir nager à vos côtés et il se peut que vous vous en lassiez même avant eux.

Pour les anglophones, je vous recommande l’un de mes meilleurs plans dans ce domaine : partir une ou deux semaines (en fonction de votre temps disponible et de votre budget) avec Wildquest, situé à Bimini, aux Bahamas.

Il vous suffira seulement de rejoindre Miami, puis de prendre la navette pour Fort Lauderdale (au départ de l’aéroport). Vous serez ensuite pris en charge pour un séjour littéralement paradisiaque. Vous nagerez quotidiennement avec des dauphins sauvages, dans de l’eau translucide, à 28 degrés minimum.

Suivant votre chance, vous vous mettrez à l’eau avec des dauphins tachetés de l’Atlantique, des Tursiops (dont le plus célèbre est Flipper), voire même quelques requins énormes, aussi impressionnants qu’inoffensifs.

Bref, si le paradis est sur Terre, nul doute qu’il est à Bimini…

Pour aller plus loin : www.wildquest.com

 …et vous, vous avez déjà nagé avec des dauphins ??…C’était où ? C’était comment ? Et sinon, qu’est-ce qui vous retient ? 

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