Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous plus ou moins névrosés et pétris de ce que nous avons vécu -pour ne pas dire « subi » dans notre enfance ou adolescence. Avant un travail thérapeutique profond, nous reproduisons -à notre insu- des scénarios anciens, le plus souvent inconscients. Inutile de préciser que les coupables ne sont jamais très loin (papa, maman ou souvent dans le cercle familial proche, chez les tontons ou les cousins).
Bien évidemment, les plus gros traumas rencontrés en thérapie sont souvent d’ordre sexuel : le viol, l’inceste (réel ou en creux), les climats incestuels et tous les abus divers et variés.
Aussi, il serait illusoire de croire qu’un accompagnant -et d’autant plus si l’on parle d’un thérapeute- puisse faire l’économie d’un profond travail sur soi et d’une formation sérieuse sur ses sujets là. Comment accompagner les autres dans leurs difficultés si l’on n’a pas, soi-même, visité en profondeur, ces thèmes là ? Absolument impossible.
La question d’après est naturellement : où et avec qui se former ? Et là, vous commencez à me connaître, n’est-ce pas ?, je n’ai qu’une seule réponse : avec les meilleurs, bien sûr !!… 😆
Je ne sais pas vous, mais moi, c’est très clair : je n’ai pas de temps à perdre… et rien ne m’énerve plus que de perdre mon temps dans une formation médiocre ou simplement, en deçà de mes attentes (en la matière, je n’aimerais pas m’avoir moi-même comme cliente…), parce que c’est simple, je veux TOUT : je veux apprendre beaucoup, que la pédagogie soit claire, l’animation vivante et variée (je déteste m’ennuyer). Je veux aussi des enseignants modélisants, non seulement dans leur animation, mais aussi dans leur posture, leur savoir-être, leur énergie et osons le mot, dans leurs valeurs.
En psycho, encore plus qu’ailleurs, je veux être formée par les meilleur(e)s.
Pour se former en Gestalt, il y a bien sûr à Paris, l’EPG (Ecole Parisienne de Gestalt) que l’on ne présente plus, tant elle fait référence sur le marché. Pour autant, la partie Sexothérapie n’y est pas très développées. Alors, où se former si ce n’est pas à l’EPG ? 🙄
C’est là où je détiens une info en or !… 😆 et parce que je suis sympa, je vais même vous la donner : si vous voulez combiner formation en sexothérapie et Gestalt, il faut vous former à l’ESOG (Ecole de Sexothérapie à Orientation Gestaltiste).
Sexothérapie Gestalt : qui sont les meilleurs et avec qui se former ?
L’Ecole a été créée par Brigitte Martel que la réputation précède sur le sujet, avec des intervenants triés sur le volet. Jugez plutôt l’équipe de fondateurs/formateurs -ceux qui les connaissent, apprécieront…- :
Brigitte MARTEL est gestalt-thérapeute et sexothérapeute depuis vingt-cinq ans, formatrice et superviseur. Elle a co-dirigé durant 14 ans l’Ecole Parisienne de Gestalt (EPG) et a enseigné dans plus de 10 pays. Son livre, « Sexualité, Amour et Gestalt » est édité en France, en Norvège et en Russie. Elle est présidente de l’ESOG.
Martine MASSON est psychologue clinicienne, psychothérapeute, sexothérapeute, formatrice et superviseur. Diplômée de la Société Française de Sexologie Clinique, formatrice à l’Ecole Parisienne de Gestalt et dans divers pays étrangers, elle s’inspire dans sa pratique clinique de la gestalt, du chamanisme, de la psycho-énergétique et du Tantra.
.
Jean-François GERVET a commencé à animer des groupes comme thérapeute reichien en 1978 et s’est formé auprès de Gerda, Paul et Ebbah Boyesen. Après avoir fondé et dirigé deux sociétés de service informatique, il s’est ensuite formé aux approches du Tantra et du Tao. Il co-anime maintenant en France et à l’étranger avec Brigitte MARTEL.
Sydney GOURDET est médecin généraliste, psychothérapeute, formateur et superviseur. Sa pratique s’appuie sur la Gestalt-thérapie, le travail avec les états modifiés de conscience, l’approche stratégique brève de Palo Alto et l’approche cognitive. Il s’intéresse aux apports des neurosciences à la pratique clinique et psycho-thérapeutique.
Ces quatre là ont concocté un parcours complet qui couvre des sujets aussi variés que l’histoire de la sexologie et de la sexothérapie, les cycles de la réponse sexuelle, le développement psycho-sexuel, l’anatomie et la physiologie, les différentes approches dont les spécificités de l’approche Gestaltiste, les difficultés sexuelles et leurs accompagnements, les normes et leurs frontières, ainsi qu’une ouverture sur les autres approches de la sexualités (tao, tantra, chamanisme,..) et des thèmes complémentaires, tels que l’identité de genre, l’orientation sexuelle, la sexualité dans le couple et bien sûr, l’éthique et la déontologie du sexothérapeute.
Bref, un programme complet en trois cycles qui vous donnera en fin de cursus, et à l’issue d’un écrit professionnel, le certificat de Sexothérapeute à Orientation Gestaltiste.
Le plus simple à ce stade est que vous alliez visiter le site de l’ESOG en cliquant ICI par exemple : ESOG ou Ecole de Sexothérapie à Orientation Gestaltiste.
Bonne visite et bonne formation aux petits chanceux qui ont d’ores et déjà les pré-requis pour suivre ce parcours passionnant.
Quant aux autres, vous pouvez quand même aller vous faire plaisir en allant suivre les stages co-animés par Brigitte Martel et Jean-François Gervet. Plus d’infos sur leur site : l’association Sexe-Amour-Psy. Attention, il y a très peu de dates : il n’y en aura pas pour tout le monde… Vous voilà prévenus ! 🙄
N’hésitez pas à partager vos ressentis, vos émotions et vos idées en commentant cet article. Votre commentaire est précieux !…
Pour publier un commentaire, c’est encore un peu plus bas ci-deesous dans la zone « Je laisse un commentaire » (si vous êtes dans l’article) ou bien cliquez sur la petite bulle format BD à côté du titre de l’article (si vous êtes en dehors de l’article)… Merci d’avance pour votre partage !…